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Mise à jour: 17/04/09




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AFRIQUE SU SUD

Formalités administratives

 

 

 



 

 

 

Santé

Aucun vaccin n'est obligatoire pour l'Afrique du Sud.

- Vaccins recommandés : tétanos, hépatite A et B, fièvre typhoïde et rage.
- Fièvre jaune : tout voyageur étant passé par une zone endémique dans les six jours avant son entrée en Afrique du Sud devra obligatoirement présenter un certificat de vaccination valide.
- Choléra : des foyers d'épidémie de choléra ont été détectés dans des zones rurales du Kwazulu-Natal, du Gauteng, du Mpumalanga et de la province du Nord. L'épidémie semble en régression.
- Paludisme : endémique tout au long de l'année dans les zones de basse altitude de la Province du Nord, du Mpumalanga (y compris le parc national du Kruger) et du nord-est du Kwazulu-Natal jusqu'à la rivière Tugela. Le risque est plus grand d'octobre à mai. Il est conseillé de prévoir une prophylaxie préventive, à prendre avant et pendant son séjour dans les zones infestées (à ce sujet, voir notre dossier sur le paludisme).
- Bilharziose : le parasite de cette maladie est présent dans certaines rivières (eau douce) d'Afrique du Sud. Renseignez-vous auprès des responsables touristiques des régions où vous vous rendez.
Il faut donc éviter les bains de rivière en zone endémique (à ce sujet, voir notre dossier pratique sur l'eau en voyage).
- Sida : l'Afrique du Sud l'une des nations les plus atteinte au monde par le virus HIV. D'après les Nations Unies, 20 % des Sud-Africains sont séropositifs avec une moyenne atteignant 1 700 nouveaux cas par jour. N'oubliez donc pas de vous munir de préservatifs et renseignez-vous auprès des représentations officielles de votre pays pour toute transfusion ou vaccin. Si vous souhaitez vous faire tatouer ou si vous envisagez de vous faire faire un piercing, vérifiez que les instruments ont bien été stérilisés au préalable.

Paludisme

La première des protections est la protection individuelle contre les moustiques (et les autres insectes): répulsifs adaptés, vêtements couvrants, moustiquaires imprégnées.
Schématiquement, on peut dire que le pays est indemne de paludisme à l'exception des zones de safari(Provinces du Mpumalanga et du Kwazulu–Natal) Et, si les hommes d'affaires restent volontiers en ville (la prévention médicamenteuse ne leur est, donc, pas indispensable) on imagine mal un voyageur quel que soit son itinéraire, ne pas visiter les parcs et réserves .
Dans toute la région, le parasite, là où il est présent, est résistant à la chloroquine. Le choix de traitement préventif devra se faire entre Lariam et Malarone.


La haute protection peau & vêtements

Autres risques

Les risques d'affections transmises par des piqûres d'insectes (moustiques, mouches, tiques) sont présents partout hors des grandes villes.
Il en est de même pour les risques alimentaires.Leur prévention doit passer par l'observance des conseils de"Santé des Voyageurs " concernant les problèmes environnementaux et comportementaux.
Insistons sur les risques de MST et en particulier de SIDA,en rappelant le drame que représente pour le pays la séropositivité de près d'un Sud–Africain sur dix.
Il existe dans les grandes villes et leur périphérie, en particulier, à Johannesbourg et au Cap d'importants problèmes d'insécurité, qui nécessitent d'observer certaines règles: ne pas sortir seul ( ni dans les townships, ni en ville surtout la nuit), ne pas afficher de signes ostentatoires (montres, bijoux, argent liquide), garder sur soi des photocopies plutôt que les originaux de ses papiers.
Sur les cotes du Natal, la force des rouleaux et des courants nécessite de se renseigner pour éviter les risques de noyade, les accidents de surf, voire de se trouver nez à nez avec un requin.

Infos pratiques

Les infrastructures sanitaires sont très satisfaisantes dans les grandes villes d´ Afrique du Sud .
Il est préférable , en cas de nécessité de soins sur place, après avis de la compagnie d'assistance , de contacter les services consulaires français:
• à Johannesbourg : (271)1 778 56 00

Sécurité

Avec un peu plus de 22 000 meurtres par an, 30 000 carjackings (vol avec violence d'un véhicule en circulation), le record mondial des viols, un business de la sécurité privée dont le chiffre d'affaires dépasse de 50 % le budget de la police nationale, l'Afrique du Sud a tous les aspects d'un pays apocalyptique où il ne faudrait aller pour rien au monde. En ce sens, la lecture de la presse quotidienne est parfois déprimante.
Le consulat général de France à Johannesburg recense une cinquantaine d'agressions de Français chaque année, dont certaine peuvent être violentes. Plus de la moitié concernent des touristes.
Si on ne risque pas grand chose dans les campagnes, ni dans les villes moyennes, il est nécessaire de suivre quelques précautions pour pouvoir apprécier vraiment les grandes villes.

- Argent, papiers, billets : profitez des coffres que les hôtels mettent parfois à disposition pour déposer papiers et billets. Sinon, une pochette dissimulée sous les vêtements est une bonne idée. Photocopiez votre passeport et changez une partie de vos économies en chèques de voyage : ils vous seront remboursés en cas de vol ou de perte. En balade, il est préférable de ne prendre qu'une somme modique en petites coupures (ce qui évite d'exhiber de gros billets).
- Carte de paiement : si votre carte reste bloquée, ne tapez pas votre code et ne laissez surtout personne vous aider. Évitez de retirer de l'argent la nuit et tentez de le faire en compagnie de quelqu'un de confiance qui pourra contacter un employé de banque pendant que vous restez près du distributeur.
- Objets de valeur : gardez à l'esprit que les vols sont pour la plupart commis par nécessité. Ne tentez pas les éventuels intéressés en exhibant bijoux, appareils photos ou caméras. Pour ces derniers, mettez-les plutôt dans un sac à dos sans prétention que dans une sacoche spécialement conçue à cet effet.
- En voiture : en ville, fermez les portes à clef de l'intérieur et remontez les fenêtres. Évitez de rouler dans Johannesburg la nuit (risques de braquages à main armée). Renseignez-vous auprès de vos hôtes sur les routes et les quartiers à risque. Ne laissez rien dans la voiture, ni dans le coffre, ni dans la boîte à gants. Laissez cette dernière ouverte pour que son contenu soit visible de l'extérieur. Cela vous évitera de retrouver vos vitres cassées. Contractez absolument une assurance en cas de vol ou accident de voiture avant de partir.
- Auto-stop : plutôt que de faire de l'auto-stop, il est préférable d'afficher des demandes de co-voiturage dans les auberges de jeunesse, les universités et les agences de voyages. De même, si vous louez une voiture, sachez que prendre un auto-stoppeur, c'est prendre un gros risque, surtout aux abords des grandes villes.
- Braquages : en règle générale, pas de balades en solo la nuit. Les parcs, les gares, les plages et les endroits déserts sont à fuir absolument dès qu'il fait sombre. À Johannesburg, on se doit d'être encore plus prudent que dans les autres villes, surtout dans le centre. Prenez le taxi pour vous déplacer dans vos virées nocturnes. Devant une arme, ne jouez pas aux héros : n'offrez aucune résistance et videz vos poches.
En cas de problème , appelez votre représentation diplomatique. Pour les Français, les numéros d'appel, valables 24 h/24, sont : tél. 012-425-16-00 ( à Pretoria) et tél. 082-467-25-88 (à Johannesburg).

© 2007 Routard.com / Hachette Tourisme

 

 

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